Entretiens : Un podcast explore l’impact des maisons d’adoration sur la vie de la communauté
Entretiens : Un podcast explore l’impact des maisons d’adoration sur la vie de la communauté
Dans ce dernier épisode de podcast, nous entendons des points de vue et des idées sur la façon dont les maisons d’adoration bahá’íes au Kenya et en Ouganda enrichissent la vie de la communauté.
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CENTRE MONDIAL BAHÁ’Í — Lors de récentes consultations au Centre mondial bahá’í sur le développement des communautés bahá’íes, quelques participants qui travaillent en étroite collaboration avec les maisons d’adoration bahá’íes en Ouganda et au Kenya se sont entretenus avec le News Service pour un épisode de podcast afin d’explorer des idées sur la manière dont ces temples enrichissent la vie de la communauté.
Le podcast présente Samuel Mwangi, membre du Corps auxiliaire du Kenya ; Patricia Senoga, membre du Corps auxiliaire de l’Ouganda ; et Charles Anglin, responsable de la maison d’adoration en Ouganda.
M. Anglin a décrit une maison d’adoration comme « un endroit qui appartient à la communauté, un endroit où les gens viennent… pour réfléchir à la façon de servir leurs communautés et pour prier ensemble ».
Développant cette idée, Mme Senoga a déclaré que « l’esprit de la maison d’adoration s’étend aux communautés qui n’ont pas de temple ».
Elle a raconté une histoire qui illustre la manière dont le concept de service et d’adoration promu par les temples bahá’ís peut favoriser l’unité, même dans des situations de division de longue date où des problèmes générationnels ont conduit à un manque d’interaction entre voisins.
Cependant, a-t-elle noté, il y a de l’espoir, car tout le monde a pu observer l’unité qui existait parmi les populations les plus jeunes. « C’était très intéressant de voir comment les enfants… transcendent ces différences. Ils jouent toujours ensemble, mais, pour une raison ou une autre, les adultes ne peuvent pas s’associer », a déclaré Mme Senoga.
Inspirées par cette interaction entre les enfants et la vision d’une maison d’adoration bahá’íe, les femmes de la communauté ont commencé à prier ensemble et à discuter des besoins de leur village. « Quand vous voyez l’harmonie et l’amitié qui règnent aujourd’hui, on ne croirait pas l’histoire précédente, car elles sont tellement proches les unes des autres et pensent au bien-être des autres », a déclaré Mme Senoga, réfléchissant à la transformation qui s’est opérée dans cette communauté.