La première conférence nationale sur la coexistence en Azerbaïdjan a été inspirée par des discussions récentes sur le principe bahá’í d’unité dans la diversité.
À Stockholm+50, le BIC explore les causes profondes de l’aggravation de la dégradation de l’environnement mettent en évidence des principes et des propositions d’action.
Un représentant des bahá’ís de Tunisie s’appuie sur l’expérience des bahá’ís de ce pays pour explorer le concept de religion comme force de progrès social.
Le Bureau bahá’í des affaires publiques d’Inde partage des idées et des points de vue pertinents pour le discours national sur l’égalité des femmes et des hommes.
Les chefs religieux et les représentants du gouvernement se réunissent pour discuter des efforts collectifs visant à favoriser la paix, l’amitié et la concorde.
Des Bureaux du BIC envoient une déclaration conjointe aux dirigeants de l’UE, appelant à la reconnaissance du principe d’unité dans le partenariat UA-UE.
La chaire bahá’íe analyse les principes nécessaires pour amener l’humanité à un meilleur équilibre avec le monde naturel.
Le BIC a réuni différents acteurs institutionnels et de la société civile pour explorer la position unique des femmes pour apporter des réponses à la crise climatique.
Le Bureau de New York du BIC a exploré de nouvelles conceptions du travail, centrées sur les principes d’unité, de justice, de collaboration et de consultation.
Les dirigeants de communautés religieuses tunisiennes ont signé un « Pacte national pour la coexistence », disant leur engagement à construire une société plus pacifique.