BIC New York : Une nouvelle vidéo met en lumière les voix des jeunes sur l’interdépendance mondiale
BIC NEW YORK — Le bureau de New York de la Communauté internationale bahá’íe (BIC) a publié une courte vidéo intitulée Embracing Interdependence: Foundations for a World in Transition (Embrasser l’interdépendance : Les fondements d’un monde en transition).
Ce film de 8 minutes fait partie de la contribution du BIC au Sommet de l’avenir et propose des réflexions stimulantes de plusieurs jeunes des communautés bahá’íes du monde entier sur le potentiel du Sommet pour favoriser une nouvelle compréhension de la responsabilité collective et d’un monde pacifique.
Vendredi, le film a été projeté lors de la série Road to the Summit (En route vers le Sommet) organisée par le BIC, qui a rassemblé plus de 1 200 participants issus de 80 États membres des Nations unies, de 20 de ses agences et de centaines d’organisations de la société civile au cours des deux dernières années.
Dans le film, Ella, une jeune Américaine, analyse le concept d’une identité partagée fondée sur l’unité de l’humanité. « Je pense qu’il peut être très effrayant et intimidant de voir tout ce qui se passe et de se demander : « Comment puis-je contribuer ? Quelle est ma place dans tout cela ? » Nous avons essayé de découvrir notre identité en disant : « Je suis séparée de ce groupe », mais je ne pense pas que cela fonctionne pour nous. »
Elle imagine un avenir caractérisé par un sentiment « d’identité partagée entre les groupes », où les gens se rendent compte que « nous sommes tous dans le même bateau » malgré « ce que nous pourrions appeler des frontières artificielles ».
Un autre jeune, Khelsun, originaire d’Inde, explore le concept de leadership en tant que service à l’humanité : « Chaque être humain est créé noble. Nous voulons tous améliorer le monde. Le vrai leadership, c’est le service à l’humanité. »
Il cite un enseignement de Bahá’u’lláh : « La terre n’est qu’un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens. » Puis il conclut : « C’est le monde dans lequel j’aimerais vivre un jour. »
Lindelwa, d’Eswatini (ancien Swaziland), a souligné le principe de la participation universelle, en déclarant : « Chacun d’entre nous a un rôle à jouer dans l’amélioration du monde. »