BIC NEW YORK — Un court métrage produit par la Communauté internationale bahá’íe (BIC) explore la façon dont des relations constructives entre les individus, la communauté et les institutions ont ouvert la voie à une initiative d’action sociale menée par des jeunes pour revitaliser et protéger un écosystème de récifs coralliens au large des côtes de Tanna, au Vanuatu.

Le film de 13 minutes, intitulé « Tanna : A Study in Leadership and Action » (Tanna : une étude sur le leadership et l’action), fait partie de la contribution du BIC au discours sur le changement climatique et a été projeté le 17 novembre à la Conférence des Nations unies sur le changement climatique de 2022, connue sous le nom de COP27. Parmi les participants à la projection figuraient des représentants du gouvernement de Vanuatu.

« Le projet de restauration des coraux est né des efforts des jeunes participant aux programmes d’éducation morale bahá’ís », a déclaré Willy Missack, membre de la communauté bahá’íe et coordinateur du Vanuatu Climate Action Network (Réseau Action Climat), dans ses remarques lors de la projection.

Saphira Rameshfar, représentante du BIC, a ajouté que ces programmes éducatifs permettent aux jeunes d’analyser l’application de principes spirituels, tels que l’unité de l’humanité, dans leurs efforts pour résoudre les problèmes sociaux.

« Ce film fournit un exemple de la façon dont les efforts bahá’ís de construction de communautés favorisent l’unité entre les individus, les communautés et les institutions qui travaillent ensemble pour contribuer au progrès matériel et spirituel de leur société », a-t-elle expliqué.

Au cours des deux dernières semaines, les représentants du BIC ont participé à de nombreuses discussions lors de la COP27, dans des cadres formels et informels, et ont souligné l’urgence cruciale de repenser la relation entre la société et le monde naturel.