Centenaire de la disparition de ‘Abdu’l-Bahá : des œuvres artistiques marquent cet évènement historique
CENTRE MONDIAL BAHÁ’Í — Les préparatifs des commémorations mondiales du centenaire de la disparition de ‘Abdu’l-Bahá en novembre donnent lieu à une vague d’expressions artistiques inspirées par sa vie et son œuvre en tant que héraut de la paix, champion de la justice sociale et défenseur du principe de l’unité de l’humanité.
Par le biais de la musique, de l’animation, de la peinture, du théâtre, des contes, de la poésie et d’autres formes d’art, des personnes de pratiquement toutes les régions du monde explorent les concepts spirituels abordés par ‘Abdu’l-Bahá dans ses discours et ses écrits sur des thèmes tels que l’élimination des préjugés, l’égalité des femmes et des hommes, la paix universelle et le service désintéressé à l’humanité.
Ce qui suit n’est qu’un échantillon des innombrables œuvres artistiques qui sont créées à travers le monde en l’honneur d’une figure occupant une station distincte.
Un artiste éthiopien a créé ces deux collages à partir de découpages complexes de papiers de différentes couleurs, en s’inspirant du projet du mausolée de ‘Abdu’l-Bahá (à gauche) et du tombeau du Báb (à droite).
Ce tableau d’un artiste canadien représente une vue de Saint-Jean-d’Acre, où a résidé ‘Abdu’l-Bahá pendant quatre décennies. Il est arrivé dans cette ville en tant que prisonnier et exilé aux côtés de son père, Bahá’u’lláh. Malgré les nombreuses tragédies et adversités qu’il y a subies, ‘Abdu’l-Bahá a fait d’Acre sa maison et s’est consacré à servir les habitants de cette ville, en particulier les pauvres. Avec le temps, il est devenu connu et vénéré dans toute la région.
Cette chanson a été créée par un musicien camerounais qui a mis en musique une prière composée par ‘Abdu’l-Bahá. La prière dit, en partie, « Ô Seigneur qui pardonne ! Tu es le refuge de tous tes serviteurs. Tu connais les secrets et tu es conscient de toutes choses. Nous sommes tous impuissants, et Tu es le Puissant, l'Omnipotent. »
Dans ses écrits, ‘Abdu’l-Bahá a fait référence au rôle important des peuples autochtones du monde dans la contribution à l’avancement de la civilisation. Cette œuvre, réalisée par un artiste autochtone des États-Unis, réunit l’art autochtone traditionnel et le symbole de la pierre angulaire bahá’íe, qui symbolise la relation entre l’humanité et Dieu à travers ses manifestations.
Des participants aux activités bahá’íes de renforcement de la communauté à Stavanger, en Norvège, ont exploré différents aspects de la vie de ‘Abdu’l-Bahá à travers les arts. On les voit ici en train de fabriquer un arbre en papier pour une prochaine pièce de théâtre.
Ayant à l’esprit la promotion par ‘Abdu’l-Bahá du principe bahá’í de l’éducation universelle, un artiste du Royaume-Uni a créé ce triptyque inspiré du passage suivant tiré des écrits bahá’ís : « Considérez l’homme comme une mine riche en pierres précieuses d’une valeur inestimable. L’éducation peut, à elle seule, lui faire révéler ses trésors… »
Cet enregistrement d’une chorale aux Samoa présente des citations des « Paroles cachées » de Bahá’u’lláh :
Ô fils de l’homme ! Ne refuse pas à mon serviteur ce qu’il te demande, car son visage est mon visage. Sois donc humble devant moi.
Ô fils de lumière ! Oublie tout sauf Moi et communie avec mon esprit. Telle est l’essence de ma cause. Suis-la.
Ô fils de l’homme ! Mets la main dans mon sein, afin que je m’élève au-dessus de toi, radieux et resplendissant.
Ô fils de l’homme ! Le temple de l'être est mon trône. Purifie-le afin que je m’y installe à demeure.
En Suisse, des participants aux activités bahá’íes de renforcement de la communauté se sont inspirés de leurs origines culturelles diverses pour créer ce patchwork comportant des métaphores inspirées de la vie de ‘Abdu’l-Bahá. Le patchwork a été offert à leur centre communautaire local.
Ces deux compositions en céramique ont été réalisées par un artiste du Kazakhstan et représentent des images inspirées par les écrits de ‘Abdu’l-Bahá sur la paix universelle.
Le chœur Nyota Ya Alfajiri (Chœur de l’étoile du matin), composé de jeunes de Kakuma, dans le nord du Kenya, a composé cette chanson sur la vie de ‘Abdu’l-Bahá et son rang unique dans l’histoire bahá’íe.
Un artiste du Kazakhstan a créé ce dessin à la plume en ayant à l’esprit les métaphores de cette prière composée par ‘Abdu’l-Bahá (en anglais).
Aux Pays-Bas, le service postal national a émis un timbre conçu pour le centenaire, qui présente une vue du projet du mausolée de ‘Abdu’l-Bahá.
Des musiciens de différents pays ont collaboré à une chanson intitulée « Sois la lumière », qui s’inspire de la citation suivante des écrits de ‘Abdu’l-Bahá : « L’éducation divine est celle du Royaume de Dieu : elle consiste à acquérir les perfections divines, et c’est la vraie éducation. »
Un artiste de Singapour a réalisé ce tableau en ayant à l’esprit la résilience et la persévérance de ‘Abdu’l-Bahá face aux grandes difficultés qu’il a endurées au cours de sa vie.
Une animation intitulée « À travers leurs yeux », produite aux États-Unis, présente des commentaires de personnalités historiques remarquables qui étaient des admirateurs de la foi bahá’íe, dont Léon Tolstoï, Kahlil Gibran et Yone Noguchi.
En République démocratique du Congo, plusieurs musiciens ont enregistré une chanson sur les qualités extraordinaires du caractère de ‘Abdu’l-Bahá et son service à l’humanité.
Un artiste roumain a réalisé cette illustration de la pièce de la maison de ‘Abdu’lláh Páshá à Saint-Jean-d’Acre, où une série d’entretiens ont été donnés par ‘Abdu’l-Bahá entre 1904 et 1906, en réponse aux questions posées par Laura Dreyfus-Barney, une bahá’íe américaine résidant à Paris. Les transcriptions de ces entretiens ont ensuite été publiées dans le livre Les leçons de Saint-Jean-d’Acre.
Un groupe d’enfants en Australie a réalisé ces pièces d’origami après avoir lu une histoire sur ‘Abdu’l-Bahá dans laquelle il vendait un manteau coûteux qu’il avait reçu, afin d’en acheter pour des personnes dans le besoin.
Un artiste du Canada a préparé des cartes en papier, chacune contenant une prière composée par ‘Abdu’l-Bahá. Les cartes de prière sont enluminées par des peintures de fleurs inspirées de l’imagerie du monde naturel trouvée dans ces prières, notamment ce qui suit : « Elles ont fleuri comme de douces fleurs et sont remplies de joie comme la rose qui rit. C’est pourquoi, ô toi qui es le pourvoyeur aimant, assiste gracieusement ces âmes saintes par ta grâce céleste qui est accordée de ton royaume... »
Un artiste tunisien a réalisé ces aquarelles en s’inspirant du projet du mausolée de ‘Abdu’l-Bahá.
Cette peinture réalisée par un artiste indien évoque de profondes métaphores tirées des écrits de ‘Abdu’l-Bahá sur l’égalité des femmes et des hommes.
Cette chanson a été créée par un groupe de musiciens de Singapour qui ont mis en musique des passages des écrits de ‘Abdu’l-Bahá.
Des participants aux activités bahá’íes de renforcement de la communauté en Afrique du Sud ont créé ces œuvre artistiques, inspirées par des récits de la vie de ‘Abdu’l-Bahá sur les thèmes du service désintéressé à l’humanité et de l’amour.
La communauté bahá’íe de Colombie a produit quatre chansons sur l’appel de ‘Abdu’l-Bahá au service désintéressé de l’humanité.
Il s'agit de l’une des nombreuses vidéos dans lesquelles des enfants et des jeunes en Colombie partagent des histoires sur le service de ‘Abdu’l-Bahá à l’humanité.
Une animation préparée en Arménie met en musique la prière suivante composée par ‘Abdu’l-Bahá : « Mon Dieu, guide-moi, protège-moi, illumine la lampe de mon cœur et fais de moi une étoile brillante. Tu es le Fort et le Puissant. »
Un artiste au Canada a réalisé une série d’illustrations de lieux importants associés à ‘Abdu’l-Bahá. L’image en haut à gauche représente le projet de son mausolée, l’image en haut à droite est celle le manoir de Bahjí et l’image du bas est celle de la maison de ‘Abdu’l-Bahá à Haïfa.
Différents artistes en Iran ont créé ces œuvres calligraphiques inspirées des prières et des écrits de ‘Abdu’l-Bahá.
Cette animation est l’une des nombreuses qui ont été créées en Iran, intégrant des passages des écrits de ‘Abdu’l-Bahá sur la dimension spirituelle de la vie.
Des jeunes du Timor-Leste ont composé cette chanson sur le service désintéressé à l’humanité.
Il s’agit de l’une des nombreuses chansons créées par des musiciens iraniens sur la vie de ‘Abdu’l-Bahá. Ces chansons abordent des thèmes tels que la joie et l’élévation spirituelle, la proximité de Dieu et la paix.
Cette peinture abstraite des Pays-Bas a été inspirée par une vision pleine d’espoir de l’avenir telle qu’on la trouve dans les enseignements bahá’ís.
Un musicien de Macao a composé cette chanson sur le rang unique de ‘Abdu’l-Bahá dans l’histoire bahá’íe.
Un musicien en Irlande et un compositeur à Singapour ont produit un album qui met en musique des passages des écrits de Bahá’u’lláh et de ‘Abdu’l-Bahá. La pochette de l’album a été créée par un artiste en Espagne.
Cette illustration créée par un artiste chilien représente l’entrée de la résidence des Maxwell à Montréal, au Canada, où ‘Abdu’l-Bahá a prononcé des discours publics lors de sa visite de dix jours dans cette ville en 1912.
Cette vidéo d'animation créée par la communauté bahá’íe d’Italie met en musique une prière composée par 'Abdu'l-Bahá, qui dit notamment : Ô Dieu ! Éduque ces enfants. Ces enfants sont les plantes de ton verger, les fleurs de ta prairie, les roses de ton jardin. »
Cette exposition d’art en Allemagne invite à la réflexion sur les mots d’amour, d’unité et d’harmonie de ‘Abdu’l-Bahá. Des citations encadrées de ses écrits sont placées parmi les œuvres d’art qu’elles ont inspirées.
Dans cette vidéo, des membres de la communauté bahá’íe d’Inde racontent des histoires sur l’amour de ‘Abdu’l-Bahá pour tous les peuples.
Dans cette vidéo, des participants à des activités de renforcement de la communauté dans un quartier de Brisbane, en Australie, interprètent des chansons sur la vie de ‘Abdu’l-Bahá.
Cette peinture réalisée par un artiste du Pérou utilise la lumière comme une métaphore de l’appel à l’unité lancé par ‘Abdu’l-Bahá.
Enregistrement de chansons interprétées lors d’un rassemblement dans le quartier de Klostergården à Lund, en Suède, par des participants engagés dans des activités de renforcement de la communauté.
Cette chanson, intitulée Storm, a été composée par des personnes des quatre coins des États-Unis et aborde différents thèmes, notamment celui de traverser les temps difficiles auxquels fait face l’humanité en se mettant au service de la société.
Cette œuvre numérique, créée par un artiste aux États-Unis, s’inspire des paroles de ‘Abdu’l-Bahá sur l’égalité des femmes et des hommes, dans lesquelles il compare l’humanité à un oiseau avec deux ailes.
Ces cartes ont été préparées par un artiste de Fukushima, au Japon, présentant des extraits d’une série de conférences publiques données par ‘Abdu’l-Bahá à Paris sur différents thèmes, tels que le rôle de la religion dans la promotion de l’unité et le véritable but de la vie.
Des participants aux activités de développement communautaire en Afrique du Sud ont créé des découpages en argile de formes et de tailles différentes qui seront disposés ensemble pour former une étoile à neuf branches, un symbole de la foi bahá’íe. Le chiffre neuf représente l’unité et la perfection.
Des musiciens de Bakou, en Azerbaïdjan, ont écrit cette chanson sur le service à la société avec des paroles en azerbaïdjanais, turc, russe, persan et anglais. Cette chanson est également inspirée par les liens historiques entre la ville de Bakou et ‘Abdu’l-Bahá. Le développement précoce de la communauté bahá'íe de Bakou a été encouragé par ‘Abdu’l-Bahá.
Un artiste du Royaume-Uni a réalisé ces peintures en ayant à l’esprit cette déclaration de ‘Abdu’l-Bahá : « Plus le capitaine d’un navire est souvent dans la tempête et dans la navigation difficile, plus ses connaissances s’accroissent. »
Alors qu'elle était confinée, une famille roumaine a enregistré une présentation dramatique des événements clés des premiers jours de la visite de ‘Abdu’l-Bahá en Europe en 1911. La pièce, présentée dans cette vidéo, met en scène certaines des personnes qui ont rencontré ‘Abdu’l-Bahá et qui se souviennent de l'effet transformateur que ces rencontres ont eu sur elles.
En ayant à l’esprit l’amour de ‘Abdu’l-Bahá pour les peuples autochtones du monde et le passage des écrits bahá’ís qui déclare que tous les gens sont « les fleurs d’un seul jardin », un artiste autochtone du Canada a collaboré avec une couturière et des dizaines d’autres personnes pour créer des broderies mettant en avant le travail traditionnel des perles.
Ces illustrations pour enfants, réalisées par un artiste espagnol, explorent les concepts des enseignements bahá’ís sur l’éducation, en s’inspirant de la déclaration suivante de Bahá’u’lláh : « Considérez l’homme comme une mine riche en pierres précieuses d’une valeur inestimable. Seule l’éducation peut révéler ses trésors enfouis et permettre à l’humanité d’en bénéficier. »
Cette vidéo présente une chorale de l'île de Goodenough, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, qui interprète des chansons sur la maison d’adoration bahá'íe actuellement en construction à Port Moresby.
Ce mandala a été brodé par une artiste bolivienne qui s’est inspirée de l’immense amour de ‘Abdu’l-Bahá pour toute l’humanité.
En Russie, un duo d’une mezzo-soprano et d’un ténor a mis en musique, dans un style opératique, une prière composée par ‘Abdu’l-Bahá. La prière dit : « Mon Dieu, guide-moi, protège-moi, illumine la lampe de mon cœur et fais de moi une étoile brillante. Tu es le Fort et le Puissant. »
Ce dessin à la plume réalisé par un artiste néo-zélandais est l’un des nombreux dessins qui figureront dans une publication à venir, intitulée « Méditations sur Les leçons de Saint-Jean-d’Acre », en l’honneur du centenaire de la disparition de ‘Abdu’l-Bahá.
D’autres chansons produites en l’honneur du centenaire de la disparition de ‘Abdu’l-Bahá sont disponibles sur cette liste de lecture.