Le pouvoir transformateur de la prière : comment les réunions de prière prennent racine en Ouganda

18 août 2019
Charles Oloro (à gauche) et Michael Okiria d’Ouganda expliquent comment de plus en plus de personnes assistent à des rassemblements réguliers pour des prières en commun.

DISTRICT DE KAMULI, Ouganda — L’humanité s’est toujours appuyée sur la prière comme source d’orientation et comme lien avec Dieu.

Podcast: Le pouvoir transformateur de la prière : comment les réunions de prière prennent racine en Ouganda

Une entrevue avec des représentants d'une communauté en Ouganda explore comment la prière collective influence la société dans son ensemble (en anglais).

S’abonner au podcast du BWNS pour du contenu audio supplémentaire.

RSS  |  Spotify  |  Apple Podcasts  |  SoundCloud  |  Tunein  |  iHeart  |  Stitcher

Dans le dernier épisode de podcast de Bahá’í World News Service, Charles Oloro et Michael Okiria, d’Ouganda, expliquent comment de plus en plus de personnes assistent à des rassemblements réguliers pour une prière collective et font l’expérience de son pouvoir de transformation. Connus sous le nom de réunions de prière, ces espaces sont ouverts à tous et sont exempts de rituel ; personne n’a un rôle particulier. Ces réunions offrent également aux membres de la communauté un espace pour discuter de leurs besoins spirituels et matériels.

« Nous assistons à une nouvelle culture d’amis qui se réunissent et se tournent vers Dieu pour rechercher réellement des conseils pour tout ce qui se passe dans leurs communautés, a déclaré M. Oloro. Toute âme peut venir dans cet espace et inhaler ces parfums célestes. »

M. Okiria et M. Oloro se sont entretenus avec le Bahá’í World News Service lorsqu’ils se trouvaient au Centre mondial bahá’í dans le cadre d’une consultation entre des représentants de huit localités du monde où un solide processus d’éducation et de renforcement de la communauté bahá’íe fait participer des milliers ou des dizaines de milliers de personnes. Les deux hommes représentaient un groupement de villages et de villes en Ouganda appelé Kamuli South. Au cœur de ces efforts de renforcement des communautés se trouvent la capacité des populations locales à contribuer au changement social en appliquant à leur réalité sociale les principes bahá’ís fondamentaux.

« Les gens discutent maintenant entre eux des besoins de la communauté et se consultent pour tenter de trouver des solutions aux problèmes auxquels leur communauté est confrontée », explique M. Okiria.

En février, la Maison universelle de justice a publié une compilation d’écrits et de directives bahá’ís sur la prière et la vie de dévotion, disponible à la Baha’i Reference Library (en anglais).