Les réunions en personne ont été organisées selon les mesures de sécurité exigées par le gouvernement. Depuis l’évènement, les mandats gouvernementaux exigent le port de masques. Gezina Volmer, directrice du Bureau bahá’í des affaires extérieures du pays, explique que les réunions préparatoires qui ont abouti à la Journée mondiale de la religion étaient nécessaires pour réaliser un consensus parmi les communautés religieuses : « La toute première réunion avait simplement pour but de réunir les gens. Ce n’était pas plus compliqué que ça. Parce que si nous ne savons pas comment nous réunir, alors c’est la première étape. »